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Brise-Bulles #73 “Tout un monde!!”

Vous-y trouverez;
* Vaccin qui propage l’immunité en se transmettant comme un virus. 😱
* En Chine, Sergueï Lavrov annonce l’avènement d’un nouvel ordre mondial “plus juste”
* La guerre en Ukraine risque de créer une crise alimentaire mondiale sans précédent.
* Rebond du rouble. Qu’est-ce que ça veut dire?
* Zelensky exhorte les pays européens à cesser toute relation commerciale avec la Russie… sans le faire. 🤔
* Covid-19 : la quatrième dose de vaccin désormais ouverte à partir de 60 ans, annonce Olivier Véran
* La 4e dose n’est pas officiellement recommandée pour les 60 à 80 ans (Québec)
* Covid-19 en Allemagne : le chancelier échoue à faire voter une vaccination obligatoire
* Suspension de la Russie du conseil des droits de l’Homme de l’ONU
⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
💠 Le 24 mars 2022, article publié par The Irish News
“Les VACCINS ont été notre principale voie d’évacuation de la pandémie de Covid-19 – pourtant, la logistique consistant à injecter à plusieurs reprises des millions d’entre nous contre le virus a poussé le NHS presque au point de rupture.
Mais que se passerait-il si les vaccins étaient conçus pour se propager d’une personne à une autre – tout comme les virus eux-mêmes – plutôt que d’être injectés à chaque individu pour déclencher une réponse du système immunitaire ?”
“Une douzaine d’instituts de recherche aux États-Unis, en Europe et en Australie étudient déjà le potentiel des vaccins à propagation automatique à la suite de la pandémie de coronavirus.
La plupart des recherches portent sur la propagation d’animal à animal ou d’animal à humain, la recherche humaine se concentrant jusqu’à présent sur la sécurité de l’idée en principe.
La recherche est subventionnée par des organisations de financement de premier plan, notamment les National Institutes of Health des États-Unis (la principale agence de recherche médicale du pays).”
“Pour fabriquer un vaccin transmissible, il faut trouver des moyens de conditionner le virus ou la bactérie afin qu’il puisse être facilement transmis d’une personne à une autre, mais sans causer de maladie grave.
Deux options font désormais l’objet de recherches. La première consiste à concevoir en laboratoire une forme très bénigne du virus contre laquelle vous souhaitez vous protéger.
Il doit encore être suffisamment contagieux pour infecter rapidement de grandes populations (pour amorcer le système immunitaire pour produire des anticorps anti-infectieux qui peuvent voir le virus réel) mais affaibli pour qu’il n’entraîne pas quelque chose comme le même niveau de maladie que le plein -virus de force.
L’autre option consiste à conditionner une partie de l’ADN d’un nouveau pathogène dangereux dans un virus relativement inoffensif mais hautement contagieux (comme ceux qui causent le rhume).
L’exposition aux fragments d’ADN à l’intérieur du virus inoffensif au fur et à mesure qu’il se propage dans la population inciterait le système immunitaire à être à l’affût du véritable agent pathogène plus grave – sans causer, espère-t-on, de maladie grave.
Quelle que soit la stratégie, les vaccins n’auraient besoin d’être administrés (injectés ou potentiellement inhalés) qu’à de petits groupes de personnes de différentes régions du pays, qui transmettraient ensuite le vaccin à ceux de leur communauté locale.”
“Dans un article de 2019 préparé pour le ministère de la Santé et des Affaires sociales, les responsables ont cartographié un cas hypothétique pour montrer comment la diffusion d’un vaccin antigrippal à propagation automatique dans la population britannique pourrait être utilisée pour réduire la maladie et sauver des vies.”
“… Le document indique qu’un groupe cible évident serait les étudiants universitaires, car vivre sur les campus et avoir une vie sociale active signifie qu’ils seraient les plus susceptibles de propager le vaccin. Il se propagerait ensuite aux personnes âgées également lorsqu’elles rentreraient chez elles.”
“… Mais malgré tous les avantages apparents, cette approche n’est pas sans controverse. L’article du DHSC note : « Les vaccins à propagation automatique sont moins mortels mais pas non mortels : ils peuvent toujours tuer.
“Certaines personnes mourront qui auraient autrement vécu, bien que moins de personnes meurent dans l’ensemble.
“L’autre problème est qu’il n’y a pas de consentement (pour la vaccination) de la majorité des patients.”
Mais certains experts en éthique disent qu’il existe des parallèles pour «traiter» des populations de masse pour des problèmes de santé publique sans obtenir au préalable le consentement individuel.
Par exemple, la fluoration de l’eau potable du réseau pour prévenir la carie dentaire se produit déjà dans certaines régions du Royaume-Uni.
“On ne demande à personne s’il donne son consentement, même à ceux qui ne sont pas d’accord”, explique le professeur Dominic Wilkinson, spécialiste de l’éthique médicale à l’université d’Oxford.
“Au lieu de cela, nous confions aux élus le soin d’examiner les avantages probables pour la santé et de prendre des décisions fondées sur des preuves.
“Je ne pense pas qu’il y ait quoi que ce soit d’intrinsèquement différent en ce qui concerne l’idée de vaccins à propagation automatique.”
Cependant, certains scientifiques ont de sérieuses inquiétudes quant au risque que des virus affaiblis puissent muter en une forme plus puissante une fois qu’ils sont libres de se propager dans la population.”
(Lorsque les risquent des conséquences dépassent les bénéfices et qu’en plus, ça pourrait devenir hors contrôle… et bien on ne le fait pas!! Juste du bon sens!!)
💠 Le 30 mars 2022, article publié par AFP
“Face à la résistance ukrainienne et à l’unité des démocraties occidentales, qui ont pris des sanctions sans précédent contre elle, la Russie ne peut compter que sur la puissance chinoise pour échapper à un isolement économique total. Dans ce contexte, Sergueï Lavrov a profité d’un entretien bilatéral dans l’est de la Chine avec son homologue Wang Yi pour annoncer l’avènement du nouvel ordre mondial rêvé par les deux pays.”
“”Nous vivons une étape très sérieuse dans l’histoire des relations internationales”, a-t-il déclaré, dans une vidéo de l’entretien diffusée par son ministère. “Je suis convaincu qu’à l’issue de cette étape, la situation internationale sera nettement plus claire et que nous (…) nous dirigerons vers un ordre mondial multipolaire, juste, démocratique”, a-t-il lancé à son hôte. Dans un communiqué diffusé par Moscou, les deux pays ont annoncé vouloir “poursuivre l’approfondissement de la coordination en politique étrangère” et “élargir l’action commune” mais sans annoncer de mesures concrètes de soutien de la Chine à la Russie “.
“Les puissances occidentales ont mis en garde Pékin contre tout soutien au régime du président russe Vladimir Poutine qui permettrait à Moscou d’atténuer l’impact des sanctions. Les entreprises chinoises font preuve de prudence dans leurs échanges avec la Russie, de peur d’être frappées par ricochet par ces sanctions.”
💠 Le 2 avril 2022, article publié par Mélanie Meloche-Holubowski
“La guerre entre l’Ukraine et la Russie – deux pays qui jouent un rôle majeur dans l’exportation de nombreuses céréales et cultures – commence à avoir des répercussions négatives sur la sécurité alimentaire mondiale. Le Programme alimentaire mondial (PAM), qui achetait 50 % de son blé en Ukraine, a dû commencer à couper les rations offertes aux plus démunis dans d’autres pays.
Le chef du Programme alimentaire mondialPAM, David Beasley, a par ailleurs déclaré mercredi au Conseil de sécurité des Nations unies que l’invasion de l’Ukraine pourrait entraîner la pire crise alimentaire mondiale depuis la Seconde Guerre mondiale.
Julie Marshall, porte-parole canadienne du Programme alimentaire mondialPAM (un organisme associé à l’Organisation des Nations uniesONU), précise qu’avant même la guerre en Ukraine, il y avait environ 44 millions de personnes au bord de la famine dans le monde.”
“…depuis le début du conflit, des millions de tonnes de grains demeurent stockés dans des silos en Ukraine et en Russie; les combats et les sanctions imposées à la Russie font en sorte que cette nourriture ne peut plus être exportée. Le Programme alimentaire mondialPAM estime que 13,5 millions de tonnes de blé et 16 millions de tonnes de maïs sont retenues en Russie et en Ukraine, soit 23 % et 43 % de leurs exportations prévues en 2021-2022.”
“ Non seulement la guerre a-t-elle mis un frein à la majorité des exportations ukrainiennes et russes, mais les combats auront aussi une incidence majeure sur la saison des semences en Ukraine, qui doit commencer sous peu. De plus, il faut rappeler que la Russie, sous le coup de sanctions internationales, est le plus gros exportateur mondial d’engrais. Selon M. Beasly, sans engrais, les récoltes ukrainiennes pourraient être réduites de moitié.”
💠 Le 6 avril 2022, article publié par Peter Coy
“Le président Biden s’est vanté sur Twitter le 26 mars qu’ à la suite de nos sanctions sans précédent, le rouble a été presque immédiatement réduit en décombres”. C’était un tweet inopportun. La monnaie russe s’est effondrée en février après l’imposition de sanctions, mais au moment où Biden a exulté, elle avait déjà regagné le terrain perdu. Il vaut maintenant environ 1,2 cents, ce qui est en baisse par rapport à 1,3 cents avant la guerre, mais bien au-dessus de son creux de guerre de moins de 0,8 cents.”
“L’une des raisons pour lesquelles les experts en devises étaient à la baisse sur le rouble au début de la guerre était que les réserves russes de devises étrangères détenues à l’extérieur du pays avaient été gelées. Normalement, la Russie dépensait ces réserves pour acheter des roubles lorsque le rouble était faible. Ces réserves n’étant plus accessibles, il est apparu que sa banque centrale était devenue édentée.
Mais la Russie n’a pas un besoin urgent d’accéder à ses réserves de change car pour l’instant, au moins, elle ne manque pas de dollars, d’euros et d’autres devises étrangères. Elle continue d’exporter du pétrole et du gaz en gros volumes, et la flambée des prix liée à la guerre n’a fait qu’augmenter ses revenus. Le 1er avril, les économistes de Bloomberg ont prédit que les recettes d’exportation énergétique de la Russie augmenteraient de plus d’un tiers en 2022.”
“Et tandis que plus de devises fortes entrent, elles en sortent moins. Les nations occidentales punissent la Russie pour son invasion de l’Ukraine en coupant les ventes de nombreux produits, à la fois des biens de consommation et des biens industriels. Et les autorités russes répriment les importations qui consommeraient des devises étrangères. Le résultat est que le compte courant de la Russie – la mesure la plus large du commerce des biens et services plus les revenus d’investissement – se dirige vers un excédent record cette année, selon l’Institute of International Finance.”
💠 Le 6 avril 2022, article publié par FranceSoir
À Londres, le 8 mars, devant la Chambre des communes britannique, faisant référence à Winston Churchill et son célèbre discours de juin 1940, Volodymyr Zelensky assure que le peuple ukrainien « n’abandonnera pas » et a appelé à plus de sanctions contre la Russie.
Le 21 mars, dans un nouvel appel en visioconférence depuis son bureau, Volodymyr Zelensky exhorte les peuples européens à refuser toutes les ressources énergétiques de la Russie :
“Pas d’euros pour les occupants, fermez-leur tous vos ports, ne leur envoyez pas vos biens, refuser les ressources énergétiques (…) Sans commerce avec vous, sans vos entreprises et vos banques, la Russie n’aura plus d’argent pour cette guerre”.
Le 31 mars, le président ukrainien a renouvelé son appel en s’adressant au parlement australien :
“De nouvelles sanctions contre la Russie sont nécessaires. Des sanctions fortes. Tant qu’elle n’aura pas renoncé au chantage nucléaire, au blocus de la mer, la Russie devra payer le prix fort. Aucun navire russe ne devrait être autorisé à entrer dans les ports du monde libre. Acheter du pétrole russe, c’est payer pour la destruction des fondements de la sécurité mondiale. Toute activité commerciale avec la Russie doit être complètement arrêtée. Pas un dollar pour détruire des gens.”
“Invité sur CNEWS dans l’émission de Pascal Praud, Vincent Hervouët, journaliste spécialiste des affaires internationales sur LCI et Europe 1, a dénoncé l’hypocrisie du président ukrainien :
“On découvre que le gaz continue d’être délivré à travers l’Ukraine. 30 % du gaz consommé en Europe passe par les gazoducs ukrainiens. Et, donc ils (les Russes) payent l’Ukraine de deux manières : en royalties d’une part, et en les laissant prélever une partie du gaz, ce qui permet de chauffer les foyers ukrainiens. Combien de foyers ukrainiens son concernés ? 12 millions de foyers ukrainiens sont fournis avec ce gaz, seuls 300 000 en ont été coupés”, a déclaré le journaliste.”
💠 Le 7 avril 2022, article publié par Nicolas Berrod.
“Déjà ouverte aux plus de 80 ans et aux résidents d’Ehpad, la deuxième dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 (souvent dite « quatrième dose ») va désormais être proposée à toute personne âgée d’au moins 60 ans, annonce ce jeudi matin sur RTL Olivier Véran. Elle devra être administrée au moins six mois après la dernière injection reçue, uniquement « si [la personne] le souhaite », a-t-il précisé.”
“L’entourage d’Olivier Véran nous précise que les personnes ayant attrapé le Covid au moins trois mois après leur premier rappel (3e dose) n’auront pas à en recevoir de deuxième. Celles infectées moins de trois mois après cette première dose de rappel devront attendre au moins six mois pour recevoir la deuxième.”
“Avec ce passage de l’âge limite à 60 ans, la France s’aligne sur le choix fait dès le mois de janvier dernier par Israël. Les États-Unis proposent de leur côté une quatrième dose dès 50 ans, l’Allemagne à partir de 70 ans, tandis que l’Angleterre débute à 75 ans. Au 6 avril, 375 000 deuxièmes doses de rappel avaient été administrées en France.”
💠 Le 7 avril 2022, article publié par Daphnée Dion-Viens
“« Ce que le ministère a annoncé, ce n’est pas qu’on recommande la vaccination aux 60 ans et plus, mais ceux qui veulent la 2e dose de rappel peuvent y avoir accès », précise d’entrée de jeu Gaston De Serres, épidémiologiste à l’Institut national de santé publique du Québec et membre du Comité sur l’immunisation du Québec (CIQ).
« Les bénéfices nous apparaissent beaucoup moins évidents » que pour les autres groupes, comme les gens âgés de 80 ans et plus pour qui la 4e dose est recommandée, ajoute-t-il. “
(Voyons-voir combien de temps ça va durer…)
💠 Le 7 avril 2022, article publié par AFP
“Le gouvernement du chancelier allemand Olaf Scholz a échoué jeudi à faire voter par les députés une obligation vaccinale contre le Covid-19 à partir de 60 ans. Le projet de vaccination obligatoire, promesse du chancelier allemand enlisée depuis plusieurs mois, a obtenu 296 voix pour mais a été rejeté par 378 députés. Neuf membres de la chambre basse du Parlement allemand se sont abstenus.”
“Le chancelier, critiqué ces derniers mois pour sa discrétion et son manque de leadership, s’est même attiré les sarcasmes jeudi en obligeant sa cheffe de la diplomatie, Annalena Baerbock, à quitter une réunion de l’Otan à Bruxelles sur l’Ukraine pour venir participer au vote, ont rapporté plusieurs médias.”
“Quelque 76 % de la population ont reçu deux doses de vaccin. Seuls 58,9 % des Allemands ont reçu une dose de rappel contre le Covid, selon l’institut Robert Koch.”
💠 Le 7 avril 2022, article publié par AFP
“L’Assemblée générale de l’ONU, composée des 193 pays membres, a suspendu ce jeudi la Russie de son siège au Conseil des droits de l’Homme des Nations unies en raison de l’invasion de l’Ukraine, lors d’un vote qui a recueilli 93 voix favorables et traduit un effritement de l’unité internationale face à Moscou.
Vingt-quatre pays ont voté contre cette suspension — la deuxième de l’histoire de l’ONU après l’éviction de la Libye en 2011 –, initiée par les Etats-Unis. Et 58 pays se sont abstenus, mais les abstentions, un choix dénoncé par Kyiv, n’ont pas été pas prises en compte dans la majorité des deux-tiers requise parmi les seuls votes pour et contre.
Sitôt connus les résultats de ce vote, le ministre des affaires étrangères ukrainien a déclaréque son pays était “reconnaissant” de la décision de suspendre la Russie du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, affirmant que les “criminels de guerre” ne devraient pas y être représentés.
“Les criminels de guerre n’ont pas leur place dans les organes de l’ONU visant à protéger les droits de l’homme”, a réagi sur Twitter le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba.”
(Ouff la belle arnaque, 2/3 des pays membres doivent être favorables afin de trancher en faveur de ce qui est proposé. Ici sur 193 pays membres, 128 auraient dû se prononcer “pour”, mais là ils ont décidé de faire fît des 58 abstentions et de demander que le 2/3 sur le total des votes pour et contre (117) sans quoi le 93 “pour” n’aurait pas été suffisant… Conseil des Droits de L’Homme ils disent!! )
🌺🌺 Merci de commenter et de partager 🌺🌺

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