L’éducation est une des défaillances principales du gouvernement actuel et de la société en général, minant la base du système en entier, car ce maillon faible empêche une remise sur pied rapide de l’évolution humaine, aujourd’hui interrompue par des gens qui veulent placer les intérêts de la planète devant ceux des humains. Avec la programmation en règle de la prochaine génération dans nos écoles gangrénées par le mondialisme, nous ne sommes pas sortis du bois.

Commençons par une vérité tout simple mettant un peu de lumière sur les racines déchaussées de notre enseignement didactique : personne n’est pareil et pourtant, l’éducation voudrait que tous et chacun se conforme au moule préparant les jeunes à la vie d’obéissance sans questionnement, qu’est devenu notre quotidien. Point de cours sur la pensée critique ou sur la réalité économique dans nos écoles, où les jeunes apprendront à rester assis, à se taire et à lever la main pour obtenir une permission de l’État pour répondre à leurs besoins primaires.

D’autre part, on sait depuis des lustres que garçons et filles ne sont pas pareils, et on peut voir depuis presque aussi longtemps que le mode d’enseignement permet à une majorité de filles de s’en sortir, pendant que les garçons décrochent dès qu’ils le peuvent, avec un résultat d’ensemble tellement pathétique qu’à peu près la moitié des jeunes ne sait lire, ni écrire, quand vient le moment de s’inscrire à l’université. La forme de l’enseignement, tout comme les matières abordées, devraient répondre aux besoins particuliers de chacun, car tous n’ont pas les mêmes intérêts, les mêmes forces, ni la même tolérance à l’immobilité physique requise en classe.

Toutes les matières enseignées doivent refléter la réalité, si on veut un jour prendre les bonnes décisions solutionnant de réels problèmes, plutôt que de pousser l’ignorance des gens à favoriser les intérêts économiques de nos patrons. Même à l’université, la plupart des cours d’économie, de politique, de journalisme, d’histoire, de sciences et d’environnement ne disent pas un mot sur la réalité du monde.

Reste que le problème le plus profond et endémique de l’enseignement est son imprégnation généralisée de l’idéologie mondialiste, comme un cancer malin qu’il faut expurger. Ce n’est pas un hasard que 500 000 étudiants québécois abreuvés aux racines de l’UNESCO se soient rassemblés dans les rues pour joindre l’autiste écologiste Greta Thunberg. Une marche soigneusement planifiée et organisée pour que le pays cesse d’enrichir les producteurs de pétrole ennemis de nos banquiers, alors que nos jeunes croyaient se battre pour l’environnement, pendant que les mondialistes pillent le sous-sol pour engranger des profits via l’obsolescence programmée et l’absence de recyclage des matières, les deux mamelles de leur profit.

L’année 2020 fut un terreau particulièrement fertile pour diviser la population sur fond d’enjeux pseudo-sanitaires. L’école en a rajouté une couche en pimentant les énoncés de chacune de ses matières enseignées de virus et de masques, allant des comptines sur la distanciation physique de la maternelle jusqu’aux problèmes mathématiques sur la virulence au secondaire, sans oublier l’importance des masques au primaire, créant ainsi une division supplémentaire au sein de la famille, où les parents éveillés par l’accumulation des mesures stupides et liberticides de la santé publique, ne savent plus quoi dire au retour de l’école à leurs enfants lobotomisés par les électrochocs pandémiques de leurs professeurs.
Il est impératif de consacrer le divorce final entre l’éducation et la politique, de jeter aux ordures les apôtres de l’UNESCO et leur dévotion au culte de l’Agenda 2030, pour éliminer jusqu’à la dernière poussière toute forme d’ingérence d’un organisme au-delà de nos frontières dans nos programmes scolaires. Le temps commence à presser pour débuter la déprogrammation de la prochaine génération, qui sera bientôt en contrôle de notre avenir.