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Inflation: réinitialisation ou grande dépression?

Source de l’image : Quebecor Médias

Ceci est tout à fait normal quand on comprend le principe de la création monétaire. Voici un petit résumé d’où nous nous trouvons présentement, financièrement parlant.

Qu’est-ce qui donne la valeur à l’argent? Comme une ressource, c’est sa rareté ou son abondance. Donc l’ensemble de la masse monétaire ou la quantité totale d’argent en circulation. Plus il y en a en circulation, moins elle n’a de valeur.

Qu’est-ce que l’argent pour commencer? Des dettes. Donc plus on s’endette, plus il y a d’argent en circulation, moins l’argent n’a de valeur. C’est un cercle vicieux qui ne peut, à terme, soit quand la valeur de l’argent n’est mathématiquement plus soutenable par la création de nouvelles dettes, aboutir qu’à 2 scénarios possibles (si on laisse le soin à d’autres de gérer nos affaires).

Scénario 1: il y a une grande réinitialisation où on peut changer carrément les devises existantes pour une ou plusieurs autres. Dans ce cas de figure, les puissants banquiers peuvent réécrire les règles du jeu. On devient alors entièrement à leur merci.

Scénario 2: si le scénario 1 est impossible, on nous concoctera seulement une grande dépression, ce qui signifie une réduction massive de la masse monétaire en circulation. Dans ce dernier cas, les ressources ne changent pas mais elles deviennent inaccessibles car il n’y a plus d’afflux de nouvelles dettes, donc d’argent frais, et l’argent disponible en circulation est presque entièrement consacré au remboursement des dettes et est détruit par le fait même. À noter que l’argent nécessaire au remboursement des intérêts n’est jamais créé, seulement le capital l’est. Cela signifie que même si on utilisait la totalité de l’argent en circulation pour rembourser, il y aurait encore une quantité astronomique de dettes, mais plus aucun argent en circulation!

Ce scénario aboutit à l’appauvrissement des populations et à l’enrichissement correspondant des quelques familles à l’origine de cette fraude monumentale qui a lieu depuis plusieurs générations. C’est un dépouillement massif de la collectivité, un ruissellement du bas vers le haut, qui mène à une série de catastrophes humanitaires incroyables.

À la lumière de ces informations, un schéma se dessine. Pensez-vous que ce soit un hasard que, tout à coup, les gouvernements du monde aient créé les conditions idéales pour effectuer des emprunts massifs qui ont fait exploser les dettes publiques? En politique comme en finance, il n’y a pas de hasard. Si quelque chose se produit, c’est que des gens ont pris des décisions pour que ça se produise. Le système monétaire basé sur la dette n’était déjà plus tenable malgré les injections massives d’argent-dette qui étaient effectuées depuis des années. Il fallait quelque chose de majeur. Et un virus, oh mon Dieu combien épeurant, est apparu comme par magie! Limitons le plus possible l’activité humaine et injectons plein d’argent partout et vite! Le virus n’est pas responsable de l’effondrement économique actuel. Les politiques le sont.

Ce n’est pas comme si nous n’avions pas été prévenus. Comme le disait si bien le milliardaire David Rockefeller en 1994:

«La présente fenêtre d’opportunité, durant laquelle un ordre mondial pacifique et interdépendant peut-être construit, ne sera pas ouverte pour très longtemps. Nous sommes à l’orée d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est une crise majeure appropriée, et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial».

Un autre milliardaire, Jacques Attali, disait déjà en 1979 : « Le concept même de liberté va devenir de plus en plus perverti. […]

Et ce qui est fascinant, c’est que c’est à travers la médecine, à travers le bien et le mal, à travers le rapport à la mort que cette nouvelle forme de société totalitaire est en train de s’installer ».

Histoire de finir sur une note positive, j’ajouterais un autre scénario possible mais dont très peu ont pris conscience jusqu’à présent (d’où ma parenthèse en introduction, soit si on reprend nos affaires en main). On peut faire un autre système en parallèle qui rend l’argent obsolète, donc qui nous fait comprendre en l’utilisant qu’on n’a pas besoin de ces familles de banquiers milliardaires fraudeurs ni des politiciens, lobbyistes et fonctionnaires à leur botte pour prospérer. Un tel système existe déjà, il faut juste que plus de gens y adhèrent et on aura une bonne partie de la solution de mise en place.

Nous sommes présentement à la croisée des chemins. Comme le disait Doc dans Retour vers le futur: “l’avenir n’est jamais écrit à l’avance, il sera exactement ce que nous en ferons”.

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